Yes we can!And we have to learn english - Parole d’expert | Le Robert pour les professionnels      

Yes we can!
And we have to learn english

Yes we can!<br>And we have to learn english
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Si le français est une langue de portée internationale, l’anglais reste la première d’entre elles ! Dans le cadre de notre travail, et même si ce n’est pas notre langue maternelle, nous sommes tous confrontés un jour ou l’autre à la nécessité de nous exprimer correctement dans cette langue (à l’oral, comme à l’écrit).

Yes we can! And we have to learn english

Répondre au téléphone ou à des e-mails en anglais, négocier, interviewer quelqu’un (en connaissant d’autres verbes que celui-ci), rédiger un devis ou une facture, participer à une réunion sans traduction simultanée, suivre un process dans la langue de Shakespeare ou comprendre de quoi il est question lorsqu’un reporting ou un brainstorming est inscrit à l’ordre du jour… Qu’on le veuille ou non, l’anglais a infiltré l’entreprise et notre quotidien.

Niveau d’anglais : lu, écrit, parlé

Selon un baromètre de la CFE-CGC publié en 2012, 71 % des cadres utilisent une langue étrangère au travail et principalement l’anglais. Or, six Français sur dix jugent leur niveau mauvais dans cette langue. Tandis que certains reprennent leurs manuels scolaires d’une autre époque pour « s’y remettre », d’autres se lancent dans des cours gratuits en ligne afin de progresser. La maîtrise de l’anglais se revendique volontiers sur un curriculum vitae, mais il est bien impossible de gonfler le score que l’on a obtenu au Toeic, au risque de se faire immédiatement démasquer. Critère de recrutement facilement vérifiable en entretien, le niveau en anglais est aussi l’un des plus déterminants pour décrocher un emploi de nos jours. Afin de muscler certaines lacunes, on peut alors décider de rappeler un ancien correspondant londonien, se lancer dans la lecture compulsive de l’intégrale d’Harry Potter ou encore s’adonner au binge-watching, autrement dit au « visionnage » boulimique de séries en version originale non sous-titrée. Mais lire le journal en anglais ou regarder la BBC toute la journée ne suffit pas toujours. Parfois, rien ne vaut l’Eurostar pour véritablement se remettre sur les rails and climb on the bandwagon1.

But alors you are French?

L’immersion, voilà la solution ! Apprendre la grammaire, la conjugaison et du vocabulaire, c’est un peu comme mémoriser des images en deux dimensions. Tandis que parler anglais et échanger sur le vif nous fait entrer dans une troisième dimension : celle de la conversation. Ainsi plus impliqués dans une situation, nous sommes aussi plus attentifs et plus prompts à intégrer la nouveauté, à retenir ce que l’on vient d’entendre et de comprendre. Associer la langue à une autre culture que la nôtre force également la mémoire. D’autant que l’anglais a cette particularité de coexister avec de nombreuses cultures. Riche d’accents très divers, l’anglais est une langue médiatrice qui peut s’apprendre presque partout et qui peut même servir loin du méridien de Greenwich, lorsque les interlocuteurs ne parlent pas la même langue. Apprendre l’anglais à l’étranger permet aussi d’ajouter une mention qui fait office de label « international » sur un curriculum vitae, le propulsant au sommet de la pile. Seulement, nous n’avons pas tous un oncle d’Amérique, trois mois de libres devant nous, l’âge d’intégrer un programme Erasmus, ni même l’âme d’un voyageur.

Business english : la langue du milieu professionnel

Comme de nombreux domaines professionnels sont concernés par la pratique de l’anglais (marketing, tourisme, restauration, commerce, BTP, etc.), nombre de salariés le sont aussi. Cadres, ouvriers, infirmiers, commerçants, chacun doit, de temps à autre, échanger en anglais avec un client, un collègue ou un patient. En tant que langue officielle des businessmen, l’anglais est toujours sur le bout de la langue de ceux qui convoitent un C-Level Job (ou poste à hautes responsabilités : CEO, CFO…). Dans les domaines de la finance et de l’économie, vous risquez fort de passer à côté d’un nouveau marché ou d’une offre de collaboration formulée en langue anglaise si vous n’êtes pas parfaitement bilingue. Bref, si vous avez l’âme d’un trader, vous allez devoir apprendre des listes de vocabulaire par cœur. Mais lorsque les mots anglais manquent autant que la répartie ou lorsque les réponses aux e-mails brillent par leur sens de la synthèse, une formation ou quelques cours particuliers peuvent être un choix judicieux. Pour vous accompagner au quotidien, perfectionner votre usage de la langue ou même accroître votre motivation si vous préparez le Toeic ou le Toefl, appuyez-vous sur Le Grand Robert & Collins, dont la prise en main est immédiate. Cet outil facile à employer est aussi redoutablement efficace.

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– RÉFÉRENCES

1 « Prendre le train en marche ».

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